corso

CORSO VIRAHAN; L'INSOUCIENCE.

J'ai tout perdu. Tout, tout ce que j'avais, j'ai tout perdu, à jouer au plus malin que lui. Je l'aimais tellement, plus que ma propre vie. Elle ma détruite. J'y pense chaque jour, chaque minutes, chaques seconde de ma minable vie. Pourquoi fallait-il que se soit elle ? Il y en a pourtant tant d'autre.

Non.

Non, pas autant extraordinaire qu'elle. Son nom ne cesse de résonner au travers de ma tête, sa voix, elle me détruit. Aimer une personne que jamais on aurai pu avoir, et que plus jamais on ne reverra. Voilà donc la pire souffrance de se monde. Je suis ainsi consamné à erré sur ces terres, en quête de ma redemption ? Quelle drôle de situation pour celui celui qui se prétendait, et qui était bien le capitaine de l'armée du Gondor, cette si grande puissance. Comment peut-on remplacer une personne aussi vite ? Comment peut-on, disparaître comme ça, et perdre tout, simplement pour l'amour d'une femme ?

Quelle piètre situtation.

M'en remeterais-je un jour ?

Non. Je suis dévasté.

Extrait du journal de Corso V.